Les 18 milliardaires africains en dollars viennent de 7 pays anglophones à l’exception de deux marocains et d’un algérien. Plus que l’effet langue, c’est plutôt le levier démographique et technologique ajouté à la profondeur du marché des capitaux qui font que nigérians, égyptiens et sud-africains dominent ce classement Forbes qu’il faut circonscrire dans ses limites méthodologiques car reposant sur la capitalisation boursière arrêtée au 19 janvier, le taux de change des monnaies africaines par rapport au dollar et ne prenant pas en compte les actifs non cotés.
Par la rédaction