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Un premier bilan. Alors que quatre départements sont toujours en vigilance rouge canicule ce mercredi 1er juillet, la ministre de la Transition écologique Agnès Pannier-Runacher a annoncé que « deux décès » ont été causés par cette vague de chaleur.
« On a plus de 300 personnes qui ont été prises en charge en urgence par les pompiers » et deux personnes sont mortes « à la suite de malaises liés à la chaleur », a-t-elle déclaré lors d’un point presse. L’identité des deux victimes n’a pas été mentionnée.
Peu après cette déclaration, le cabinet d’Agnès Pannier-Runacher a affirmé qu’« le propos de la ministre ne valait pas confirmation des autorités » car le ministère de la Transition écologique n’est « pas l’autorité compétente en la matière ».
Ce mercredi matin, la ministre du Travail et de la Santé Catherine Vautrin a précisé qu’une « augmentation sérieuse » de l’activité du Samu a été observée en Île-de-France, estimée à 15 %. Cette dernière n’a cependant pas communiqué sur les décès liés à la canicule.
Quatre départements en vigilance rouge
Ce mercredi, l’Aube, l’Yonne, le Loiret et le Cher restent en vigilance rouge canicule après des températures qui ont dépassé les 41,4 °C la veille. Tous les départements d’Île-de-France, la Vienne, l’Indre, l’Indre-et-Loire et le Loir-et-Cher sont quant à eux passés en vigilance orange. Une baisse progressive des températures est attendue dès la fin de journée, notamment sur l’ouest du territoire.
Le ministère de la Transition écologique a annoncé ce mercredi que le mois de juin 2025 était le deuxième mois de juin le plus chaud que la France ait connu depuis le début des mesures en 1900, « derrière le mois de juin 2003 ».
Cet été-là, la canicule avait causé la mort de 15 000 personnes en seulement quinze jours.
Source HUFFINGTON POST