Finance verte pour l’Afrique : des incantations aux opportunités réelles !

Le potentiel de l’Afrique dans la réalisation des projets d’économie verte et de résilience climatique serait quasi incommensurable. Mais ce continent peine à attirer de manière constante des financements verts, ce qui est un paradoxe. Qui porte la responsabilité de cette carence structurelle ou politico-institutionnelle ? Les gouvernants publics et le secteur privé des pays africains ?

La communauté des investisseurs internationaux dont la perception des risques sur l’Afrique peut être souvent biaisés ? Il serait injuste que l’Afrique soit le parent « pauvre » de la finance verte et climatique, alors que sur les autres continents ce type de financement progresse assez rapidement au-delà des critiques sur le « green washing ».

Les pouvoirs publics, les entreprises et les ONG d’Afrique, doivent persévérer dans la mise en place de stratégie d’attractivités afin de mieux attirer la finance verte, que celle-ci provienne de capitaux internationaux ou de capitaux africains. Par Roland Portella, Gérant de Dratigus Development, Président de la CADE et Stéphane Brabant, Avocat à la Cour, Senior Partner, Trinity International AARPI.

Source la Tribune Afrique

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